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AFP
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8 nov. 2007
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Selon Arnault, la direction de la rédaction des Echos a "diabolisé" LVMH

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AFP
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8 nov. 2007

PARIS, 8 nov 2007 (AFP) - Le Pdg de LVMH Bernard Arnault qui vient d'acheter Les Echos et s'apprête à céder La Tribune, a indiqué que la vente de La Tribune à Alain Weill serait finalisée "dans quelques semaines" et accusé la direction de la rédaction des Echos d'avoir "diabolisé" son offre, jeudi 8 novembre sur RTL.


Une du journal Les Echos le jeudi 8 novembre 2007

"Je pense que d'ici quelques semaines la vente (de La Tribune) devrait être finalisée", a déclaré le Pdg de LVMH, qui a annoncé mercredi 7 novembre au soir être entré en négociations exclusives à cet effet avec News Participations, le holding personnel du patron de NextRadioTV.

Le prix de vente "n'est pas encore finalisé", a-t-il précisé, ajoutant qu'il n'était "malheureusement pas très élevé".

Interrogé sur l'opposition des salariés des Echos à son arrivée, M. Arnault a estimé que "tout ce processus" était basé sur "un malentendu et un procès d'intention". "Je crois qu'au départ la direction de la rédaction des Echos avait probablement dans l'idée de faire arriver un autre projet (...) et donc a cherché à diaboliser notre présence et notre arrivée", a-t-il déclaré.

"Ils y ont, vis-à-vis des journalistes, probablement en partie réussi, ce qui est compréhensible", a-t-il ajouté.

Le Pdg de LVMH a ajouté qu'il "ne demandait qu'(à aller à la rencontre)" des journalistes des Echos, ajoutant qu'il souhaitait "depuis trois mois" rencontrer le directeur de la rédaction Erik Izraelewicz, mais que ce dernier avait "toujours refusé".

Il a estimé que la "polémique" sur les risques de conflits d'intérêt entre LVMH et la rédaction des Echos n'était "pas vraiment fondée".

"Lorsque le groupe Pearson a racheté Les Echos, c'était un conglomérat allant dans ses activités du pétrole aux alcools et aux arts de la table et dont le principal actionnaire était le groupe bancaire Lazard, lié à tous les domaines de l'industrie", a-t-il rappelé.

"Personne à l'époque et personne pendant la propriété du groupe Pearson sur Les Echos n'a soulevé la difficulté", a-t-il noté.

Rappelant que le groupe LVMH est propriétaire depuis quinze ans d'un groupe de presse, il a ajouté : "Personne ne nous a jamais dit qu'il y avait un conflit d'intérêts et les journalistes ont été parfaitement libres d'écrire ce qu'ils voulaient sur nous et sur nos concurrents".

"Pour moi, le fait que les journalistes soient indépendants, puissent écrire ce qu'ils veulent (...), c'est une évidence et ça fait partie du fonds de commerce", a-t-il assuré.

Interrogé sur les raisons du rachat des Echos, M. Arnault a expliqué qu'"au niveau économique, il (était) préférable d'avoir le numéro un que le numéro deux". "Je pense que Les Echos ont un très grand potentiel et je crois qu'on peut apporter à cette entreprise beaucoup pour son futur, son développement. Nous sommes prêts à aider par des investissements sa mutation vers le net", a-t-il dit.

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