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22 mars 2009
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Tranoï : les exposants dressent un bilan plutôt positif

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22 mars 2009

Le 8 mars dernier, Tranoï clôturait son édition féminine après quatre jours de salon. Pour la première fois, il investissait le Carrousel du Louvre à la place de la Bourse du Commerce. Un écrin prestigieux venu s’ajouter au Palais Brongniart et à Montaigne. Et si les organisateurs refusent de donner les chiffres, les exposants sont là pour nous livrer leurs commentaires.


Palais Brongniart s'habille pour Tranoï mars 2009

La marque italienne Numéro 1 souligne avoir vu beaucoup de nationalités différentes arpenter les allées : des Australiens, des Russes, des Grecs, des Japonais, des Américains, des Espagnols, des Allemands. « Ils ont regardé, pris des notes, nous sommes contents », dit-on sur le stand.


Anand Kabra, présente sur Tranoï, collection 2009

Anand Kabra, également présente sur Paris sur Mode, trouve le salon « assez calme. Les visiteurs, japonais pour la plupart, regardent mais ne commandent pas. Mais pour une nouvelle marque c’est normal, ils attendent de voir. Par contre, nous sommes entrés en contacts avec beaucoup d’acheteurs que nous ne connaissions pas, ce qui est très positif.» Le stand de Galerie Vie par Knott se réjouit pour sa part de voir « du monde » et d’avoir « pris des rendez-vous ».


Création Elise Aucouturier 2009

Du côté d’Hiromi Tsuyoshi, fidèle au Tranoï depuis dix ans, on trouve que « l’atmosphère est plus business ici qu’à la Bourse. La fréquentation est assez bonne, quoique peut-être un peu trop calme. Nous avons vu de nouveaux clients, pris des commandes, mais petites », avoue Waka Takita, press/sales manager.

Elise Aucouturier, seule marque de lingerie sur Tranoï, se réjouit de trouver ici des « acheteurs et des contacts que l’on ne voit pas sur les autres salons. Cela me permet d’entrer dans des boutiques d’univers croisés. J’ai pris des commandes, rencontré de nouveaux clients, notamment japonais, italiens et anglais. Le bilan est très positif », se félicite la créatrice.

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