White accueille la lunetterie de recherche dans l’espace milanais Progetto Calabiana

Auteur :

Dominique Muret

Publié le
17 oct. 2013

Le salon de recherche White lance une nouvelle initiative dédiée à l’optique: "Date", un rendez-vous focalisé sur la lunetterie internationale de recherche, qui se tient du 19 au 21 octobre à Milan. La manifestation accueillera environ 80 marques, provenant de différents pays européens et des Etats-Unis dans l’espace polyfonctionnel Progetto Calabiana.

Cet espace industriel de 9000 m2 destiné à la mode et au design propose des activités polyvalentes, tels des showrooms ou l’organisation d’événements spéciaux. Il a été acheté par l’entrepreneure Marina Salomon et le président de White, Massimiliano Bizzi.

La sélection des marques et l’organisation sont gérées par White en collaboration avec Dante Caretti, Ceo de Caretti Consulting, spécialisé dans le secteur de la lunetterie. “Ce projet est né car nous hébergions déjà des marques de lunettes à White et nous avons voulu donner plus d’espace à ce secteur, qui est en pleine évolution et croissance. Nous avons décidé d’insérer cet événement jute après le Silmo, qui s’est achevé fin septembre, afin de favoriser les acheteurs», expliquent les organisateurs.

Le nom de la manifestation dérive du terme DA-TE, mouvement né au Japon, où chausser une paire de lunettes est, chez les jeunes, synonyme de joie. Parmi les exposants seront présents entre autres les Américains Linda Farrow, Moscot, Dita, le français Bruno Chaussignand, la marque danoise Lindberg, les allemands Hoffmann, Reiz, Mykita, Kuboraum, le suisse Götti Switzerland, ainsi que divers marques artisanales d’avant-garde italiennes comme Rolf, W-eye, Vision Wood, L.G.R., Spektre, Hapter, Tom Rebl Eyewear, etc.

“Avec cette manifestation démarre une nouvelle aventure. Le groupe Mseventy, organisateur aussi du salon White, apportant à Milan des manifestations dédiées à d’autres secteurs avec une formule innovante qui s’exprime dans le nouvel espace de Progetto Calabiana Milano”, conclut Massimiliano Bizzi.